MASQUES & COVID 19

Etude de Stanford

UNE ÉTUDE DE STANFORD CONFIRME L’INUTILITÉ MÉDICALE DU PORT DU MASQUE…

MAIS LES GOUVERNEMENTS NE SONT PAS PRÊTS DE L’ABANDONNER 

 Le masque est nuisible pour la santé et ne sert à rien contre le COVID 19. C'est un professeur de Stanford qui le confirme en passant en revue toutes les études scientifiques sur le sujet.

Mais alors pourquoi les gouvernements en maintiennent-ils l'usage obligatoire sous peine d'amende ? Effet placebo ? Influence chinoise ? Outil de contrôle social ? 

 

Rappelons-nous, c’était il y a plus d’un an, le ministre en charge de la Santé, Olivier Véran, proclamait l’inutilité du masque pour se protéger du COVID 19.

Puis il expliqua qu’il serait réservé au soignants; puis il fut recommandé, avant de devenir  obligatoire sous peine d’amende.  

Plus significatif encore, l’Organisation Mondiale de la Santé, avait d’abord encouragé le port du masque puis s’était rétractée, avant de rétracter sa rétractation. 

 

Une étude d'un ancien praticien de Stanford juge le masque nuisible et inutile

Face aux palinodies des politiques, il est utile de relire la remarquable synthèse effectuée par un physiologiste qui a pratiqué à Stanford, Baruch Vainshelboim, dans une revue en ligne éditée par le grand éditeur scientifique Elsevier. Monsieur Vainshelboim est auteur ou co-auteur de plusieurs dizaines  d’articles scientifiques parus dans des revues médicales. Et il est intervenu à l’hôpital militaire de Palo Alto (qui fait partie du complexe hospitalo-universitaire de Stanford) comme physiologiste de l’exercice. 

 

Cet article est bref, présente en notes l’état de la question – des dizaines d’études ont été menées sur le port du masque en général et dans le contexte du COVID en particulier.

Le lecteur pourra donc se documenter avec le degré de détail qu’il souhaite. 

 

Après avoir souligné le paradoxe consistant à recommander un accessoire qui crée des difficultés respiratoires pour lutter contre une maladie qui s’attaque au système respiratoire, Baruch Vanshelboim synthétise l’état des connaissances : 

  • même quand il est à usage médical, le masque a des pores mille fois plus larges que la taille du virus et ne l’empêche pas de passer. 
  • l’auteur constate le caractère peu concluant des études tendant à prouver que le port du masque a empêché des contaminations en milieu clos. Avec le recul d’un an de pandémie, il estime plutôt que l’on a constaté dans ce genre d’études la non-transmission du virus par les personnes infectées asymptomatiques.   
  • en revanche, rappelle l’auteur, les problèmes de respiration, les maux de tête, les insuffisances cardiaques, les infections, les troubles psychologiques et les dérèglements des relations sociales induits par le port du masque sont documentés par une solide littérature scientifique. 

 

Pourquoi les gouvernements et les bureaucraties s'obstinent-ils à recommander un accessoire dangereux pour la santé ? 

Mais alors, pourquoi les gouvernements et les grandes technocraties nationales et internationales s’obstinent-ils à imposer le port du masque ?

 

Trois motifs sautent aux yeux: 

  1. Désireux de masquer le mélange d’incompétence et de certitudes a priori qui guide leur action, les gouvernements s’accrochent à une recommandation qui relève plus de l’effet placebo que de la médecine et apaise les populations, au moins provisoirement, en laissant croire qu’il y a une politique sanitaire. 
  2. Devenus incapables de penser par eux-mêmes, les gouvernants occidentaux copient superficiellement un modèle démocratique asiatique dont ils constatent mais sans en comprendre la raison  qu’il a été plus efficace dans la lutte contre l’épidémie. Surtout, ils cèdent aux pressions de la Chine, qui a vu dans le port du masque une aubaine pour exporter 200 milliards de masques dans le monde entier.
  3. Le masque est un outil de contrôle social efficace.
    Direct : il permet de maintenir l’ordre sanitaire; 
    et indirect, puisque le gouvernement peut être sûr qu’il se trouvera toujours des personnes apeurées ou sadiques pour rappeler à l’ordre ceux qui voudraient se dérober à l’injonction gouvernementale.  

Source : Le Courrier des Stratèges, 20 avril 2021 


Point de vue d'un chirurgien

Extensions du port du masque dans les rues

Alors, revenons à des infos concrètes  et non partisanes …

 

Message de Nicolas ISNARD, Maire de Salon-de-Provence, en accord avec le sous-préfet : 

« Malheureusement, comme ailleurs dans les Bouches-du-Rhône, le virus se propage de manière active nous obligeant à prendre sans tarder des mesures de protections d’urgence. »

 

Concrètement, la population pourrait-elle être informée

sur quelles données FACTUELLES se base le sous-préfet ? 

 

Et s’il vous plait pas de motifs comme ceux de SOS-Medecin « ...SUSPICION de COVID-19... » mentionnés dans le compte rendu des Points Clés de la surveillance épidémiologique en Paca : https://www.santepubliquefrance.fr/regions/provence-alpes-cote-d-azur-et-corse/documents/bulletin-regional/2020/surveillance-epidemiologique-en-paca.-point-au-12-aout-2020

Pour ceux qui ne liraient pas le PDF du lien (disponible ci-dessous comme preuve de mes affirmations) :

 

« En résumé : 

- Augmentation du taux d’incidence et du taux de positivité à l’échelle régionale d’après le suivi des patients testés positifs dans les laboratoires de villes et les laboratoires hospitaliers.

- La situation la plus défavorable est observée dans les Bouches-du-Rhône où le taux d’incidence atteint 46 pour 100 000 habitants et a presque doublé en une semaine.

- Activité COVID des associations SOS médecins stable 

- Recours aux urgences hospitalières faibles 

- Nombre total d’hospitalisations et en réanimation stable 

- 20 nouveaux signalements par les établissements sociaux et médico-sociaux 

- 26 foyers de transmission de COVID-19 en cours d’investigation. 

 

Plus d’infos en page 2. »

 

Page 2 :

« Surveillance virologique 

A l’échelle régionale, le nombre total de tests réalisés chaque semaine continue à augmenter  (57 186 tests). 

Le taux de positivité (2,8 %) est en nette augmentation par rapport à la semaine précédente (1,7 %), ainsi que le taux d’incidence COVID (31 pour 100 000 habitants en S32 vs 17 en S31). 

 

Le taux d’incidence est supérieur au seuil de 10 pour 100 000 ha-bitants dans l’ensemble des départements de la région. Ce seuil est retenu pour discuter du passage d’un département en niveau de vulnérabilité modéré . 

La situation la plus défavorable est observée dans les Bouches-du-Rhône où le taux d’incidence atteint 46 pour 100 000 habitants en S32. Il a presque doublé en une semaine. Le taux de positivité a également nettement augmenté (3,4% en S32 vs 2,1% en S31). »

 

Lisez bien le texte de la Figure 2 (copie d'écran ci dessus) :

 

« Figure 2

Nombre hebdomadaire d’actes pour suspicion de COVID-19 par classes d’âge et pourcentage hebdomadaire d’activité liée au COVID-19, Paca, au 09/08/2020 (source : SOS Médecins) »

 

Vous avez bien lu : 

SUSPICION de Covid-19 !!!

 

Vous avez lu aussi que le nombre de tests est en augmentation (57 186/semaine) et c’est très bien !!! On aurait aimé que ce soit le cas en plein pic pour isoler les malades... 

 

Mais qui dit POSITIF ne veut pas dire MALADE... et pas plus que contaminant, car ces données ne fournissent pas les résultats des tests PCR pour lesquels la charge virale est plus importante car en fin de positivité le sujet ne l’est quasiment plus... 

 

Enfin dois-je rappeler que le traitement par l’Hydroxychloroquine ( avec Azithromycine / Zinc ) est toujours interdite en France aux médecins de ville (mais délivré à l’IHU Méditerrannée Infection, par ex.)... et recommandé dans de nombreux pays...

 

Pour rappel le ministère de la Santé préconise du paracétamol pour une maladie « mortelle » sous prétexte qu'il n'y a pas " de traitement spécifique efficace, validé et approuvé contra le virus"...(https://www.gouvernement.fr/info-coronavirus/comprendre-le-covid-19) 

...alors qu'il existe et est donné dans de très nombreux pays : Hydroxychloroquine avec Azithromycine / Zinc ☹️

Source : www.mediterranee-infection.com/coronavirus-pays-ou-lhydroxychloroquine-est-recommandee/
Source : www.mediterranee-infection.com/coronavirus-pays-ou-lhydroxychloroquine-est-recommandee/

Autre partie du document :

« Surveillance en milieu hospitalier 

Passages aux urgences 

Le pourcentage de passages aux urgences pour suspicion de CO-VID-19 pour la région en S32 est en augmentation (0,5% vs 0,3% en S31) mais reste faible. Il varie de 0,1% à 0,7% selon les dépar-tements. A noter qu’une partie de l’augmentation est expliquée par des erreurs de codages (dépistages de personnes asymptomatiques codés comme des suspicions de personnes symptomatiques). »

 

Oui vous avez bien lu 😳😳😳

 

Enfin un dernier passage :

« Surveillance en ville 

Le pourcentage d’actes SOS Médecins pour suspicion de COVID-19 est stable au niveau régional par rapport à la semaine précédente (2,7% des 6 225 consultations en S32, vs 2,8% en S31). Ce pourcentage varie de 0,3% à 3,3% selon les départements.  

Aucun cas d’IRA n’a été signalé par le réseau Sentinelles est en semaine 32. Ces données sont en cours de consolidation. »

 

Malgré le fait que les nombres d'actes de SOS Médecins

se base sur des suspicions, il est est STABLE !!!

Mais on impose le masque dans les rues !!!!

Enfin pour compléter par les données de l’IHU Méditerrannée Infection datées du 14/08/2020 : https://www.mediterranee-infection.com/covid-19/

 

Nombre de patients APHM/ IHU positifs : 5 826 (7,5%)

Nombre de décès : 165 (2,8%)

 

À L’IHU Méditerranée infection :

Nombre de patients traités : 4 030

Nombre de décès avec plus de 3 jours de traitement : 18 (0,4 %) 

 

Nombre de personnes nouvellement testées :  369 (soit 200 de plus qu’en juin ou juillet... Ce qui reflète du bien la peur qui s’est installée avec l’obligation du port du masque dans les lieux fermés et dans la rue)

Nombre de personnes nouvellement positifs : 24 !!!

 

En conclusion : 

Le Maire suit les recommandations du sous-préfet, qui ouvre le parapluie, car je rappelle le nombre ahurissant de procès en cours...

 

Ce choix politique est donc « raisonnable » avec les moyens accordés aux préfets et aux maires : 

  • Uniquement le port du masque… comme signe d’action et non…
  • Détection beaucoup plus importante (pour rappel l’Allemagne a fait entre 500 000 et 1 millions de tests par semaine)
  • Traitement proposé par l’IHU Méditerranée Infection 
  • Isolement des malades uniquement, le temps du TRT de 10 jours, avec port du masque pour les MALADES comme c’est écrit sur les documents officiels, et sur toutes les affiches dans les abris bus, les lieux publics et y compris au Centre anticancéreux de l’IP… tout en écrivant que si vous êtes malade le port du masque n’est pas adapté !!!!! (https://www.gouvernement.fr/info-coronavirus/masques-grand-public)

Si vous portez un masque chirurgical (oubliez ceux en tissus) respectez ces consignes :

 

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Télécharger
Sante Publique PACA CORSE : PROVENCE-ALPES-CÔTE D’AZUR Point n°2020-32 publié le mercredi 12 août 2020
pe_paca_120820.pdf
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Pour compléter votre information sur le port du masque : 

 

A quoi servent les masques

Dernière information par le Pr. Didier Raoult et du Pr. Jean-Christophe Lagier, chef de service des maladies infectieuses et tropicales à l'IHU : 

Ecoutez-bien à quel point la SUSPICION peut faire penser au COVID-19 alors que ça n’est pas le cas !!!

Pour rappel aussi, les incohérences honteuses de nos responsables politiques et de la Santé : 


Mesure Oxygène sans et avec masque

Référence du matériel utilisé pour mesurer jusqu'à 6 gaz simultanément, à mémoire et logiciel optionnel / pour la mesure du dioxyde de carbone, de l'hydrogène sulfuré, des gaz inflammables et de l'oxygène.

L'Oxymètre pour gaz MX6-L023Q104 coûte 1796,40€ sur le site de PCE Instruments France


Analyses microbiologiques des masques


Article de La Tribune de Genève sur les masques

Article très intéressant précisant l'utilisation des masques, mais les références citées sont parfois surprenantes d'incohérences... ou ressemblent à de la propagande étatique soumise à des lobbies pharmaceutiques.

Les masques chirurgicaux ou en tissus sont imposés à tout le monde, mais les masques FFP2 "ne doivent en aucun cas porter un masque FFP" 😳

 

En voici un extrait sur les masques...

 

...

 

Quels masques protègent et comment les porter correctement ?

 

 

Masques d'hygiène ou masque chirurgical

Type II ou IIR

 

Ces masques sont destinés en premier lieu aux personnes présentant des symptômes de maladie.

Ils protègent l'environnement contre les agents pathogènes infectieux provenant du nez et de la bouche du porteur. Portés par l’entourage, Ces masques peuvent donc réduire le risque d'infection chez les personnes âgées et les malades chroniques.

Ils n'offrent pas une protection fiable contre les infections car ils ne sont pas équipés de filtre et que beaucoup d'air est aspiré sur les bords.

Ils empêchent toutefois que les muqueuses de la bouche et du nez ne soient touchées par des mains éventuellement contaminées.

Après un usage unique, jetez-les immédiatement et lavez-vous les mains à l'eau et au savon.

 

Masques en tissu faits maison

 

Si vous ne pouvez pas acheter un masque, vous pouvez aussi le coudre ou le fabriquer vous-même.

Il est préférable d'utiliser un matériau comme le coton, qui peut être lavé à chaud. Idéalement, le masque devrait avoir plusieurs couches.

Certaines tutoriels sur Internet recommandent l’utilisation de sacs d’aspirateurs filtrant les particules. C’est à éviter, car ce matériau n’est pas destiné à filtrer de l’air inhalé et peut contenir des microfibres dommageables pour la santé.

Comme les masques d’hygiène, les masques en tissu ne vous protègent pas vraiment des infections, mais ils protègent votre entourage.

On trouve de nombreux tutoriels sur la façon de fabriquer soi-même un masque. Il y en a même pour ceux qui n'aiment pas coudre!

En France, après la consultation de 150 experts, l’Association française de normalisation (Afnor) publie le 27 mars ses propres modèles de masques, et l’Académie de médecine recommande le port obligatoire du masque «alternatif» pour les sorties nécessaires en période de confinement.

 

Masques respiratoires (avec et sans valve)

FFP1, FFP2, FFP3

 

Le sigle FFP signifie Filtering Face Fiece. FFP1, FFP2 et FFP3 assurent une protection à 80, 94 et 99% contre les virus.

Avec ces masques, le porteur, par exemple un soignant ou un médecin, se protège contre les infections, car l'air qu'il respire est filtré de l'extérieur avant qu’il ne soit inhalé.

Les filtres à particules capturent également la poussière, les vapeurs ou les micro-organismes.

En principe, il est réservé au personnel médical.

 

Attention: les masques FFP avec valves ne protègent pas les autres, car seul l'air inhalé est filtré.

Les personnes malades du Covid-19 ne doivent en aucun cas porter ce type de masques.

Les valeurs de protection ne s'appliquent que si le masque est parfaitement adapté, de sorte que même «des poils de barbe sur la ligne d'étanchéité entre le respirateur et la peau du visage peuvent nuire à l'effet protecteur», comme le souligne l'Institut Robert Koch.

 

Source : Tribune de Genève


Le danger mortel des masques

Dr Russell Blaylock
nicolasbonnal
dim., 17 mai 2020 22:42 UTC

 

«Les chercheurs ont constaté qu’environ un tiers des travailleurs ont développé des maux de tête avec l’utilisation du masque, la plupart avaient des maux de tête préexistants qui ont été aggravés par le port du masque, et 60% avaient besoin de médicaments contre la douleur pour le soulager. En ce qui concerne la cause des maux de tête, alors que les sangles et la pression du masque peuvent être causales, la majeure partie des preuves indique l’hypoxie et / ou l’hypercapnie comme cause. C’est-à-dire une réduction de l’oxygénation du sang (hypoxie) ou une élévation du C02 sanguin (hypercapnie).

 

« On sait que le masque N95, s’il est porté pendant des heures, peut réduire l’oxygénation du sang jusqu’à 20%, ce qui peut entraîner une perte de conscience, comme cela est arrivé au malheureux conduisant seul dans sa voiture portant un masque N95, le faisant s’évanouir, écraser sa voiture et subir des blessures. Je suis sûr que nous avons plusieurs cas de personnes âgées ou de toute personne ayant une mauvaise fonction pulmonaire qui s’évanouissent et se frappent la tête. Bien sûr, cela peut entraîner la mort.

 

«Une étude plus récente portant sur 159 professionnels de la santé âgés de 21 à 35 ans a révélé que 81% avaient développé des maux de tête en portant un masque facial.    

Certains avaient des maux de tête préexistants par concentrations les plus élevées de virus. Et cela conduit à la tempête mortelle de cytokines dans un nombre sélectionné.

 

«Cela devient encore plus effrayant. De nouvelles preuves suggèrent que dans certains cas, le virus peut pénétrer dans le cerveau. Dans la plupart des cas, il pénètre dans le cerveau par les nerfs olfactifs (nerfs olfactifs), qui se connectent directement à la zone du cerveau traitant de la mémoire récente et de la consolidation de la mémoire. En portant un masque, les virus exhalés ne pourront pas s’échapper et se concentreront dans les voies nasales, pénétreront dans les nerfs olfactifs et voyageront dans le cerveau. »

 

 «Malheureusement, personne ne dit aux personnes âgées fragiles et aux personnes souffrant de maladies pulmonaires, telles que la MPOC, l’emphysème ou la fibrose pulmonaire, de ces dangers lorsqu’ils portent un masque facial de quelque sorte que ce soit, ce qui peut entraîner une grave détérioration de la fonction pulmonaire. Cela inclut également les patients atteints de cancer du poumon et les personnes ayant subi une chirurgie pulmonaire, en particulier avec une résection partielle ou même l’ablation d’un poumon entier.

 

«L’importance de ces résultats est qu’une baisse des niveaux d’oxygène (hypoxie) est associée à une altération de l’immunité. Des études ont montré que l’hypoxie peut inhiber le type de principales cellules immunitaires utilisées pour lutter contre les infections virales appelées lymphocytes T CD4 +. Cela se produit parce que l’hypoxie augmente le niveau d’un composé appelé facteur inductible d’hypoxie-1 (HIF-1), qui inhibe les lymphocytes T et stimule une puissante cellule inhibitrice immunitaire appelée Tregs. Cela prépare le terrain pour contracter toute infection, y compris COVID-19 et rendre les conséquences de cette infection beaucoup plus graves. En substance, votre masque peut très bien vous exposer à un risque accru d’infections et, dans l’affirmative, avoir un résultat bien pire.

 

 «Les personnes atteintes de cancer, en particulier si le cancer s’est propagé, seront exposées à un risque supplémentaire d’hypoxie prolongée, car le cancer se développe le mieux dans un microenvironnement pauvre en oxygène. Un faible taux d’oxygène favorise également l’inflammation qui peut favoriser la croissance, l’invasion et la propagation des cancers. Des épisodes répétés d’hypoxie ont été proposés comme facteur important de l’athérosclérose et augmentent donc toutes les maladies cardiovasculaires et cérébrovasculaires.

 

«Il y a un autre danger à porter ces masques au quotidien, surtout s’ils sont portés pendant plusieurs heures. Lorsqu’une personne est infectée par un virus respiratoire, elle expulse une partie du virus à chaque respiration. S’ils portent un masque, en particulier un masque N95 ou un autre masque bien ajusté, ils réinsuffleront constamment les virus, augmentant la concentration du virus dans les poumons et les voies nasales…

 

 

Le Dr Russell Blaylock, 

Le Dr Russell Blaylock,  auteur du   bulletin d’information The Blaylock Wellness Report , est un neurochirurgien, un praticien de la santé, un auteur et un conférencier accrédité à l’échelle nationale. Il a fréquenté la Louisiana State University School of Medicine et a terminé son stage et sa résidence en neurologie à l’Université médicale de Caroline du Sud. Depuis 26 ans, pratique la neurochirurgie en plus d’avoir une pratique nutritionnelle.