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La vitamine C est encapsulée dans un liposome, une micro-particule de graisse. Leur taille est donc bien inférieure à celle d'une cellule humaine.
Le procédé liposomal rend la vitamine C liposoluble, c’est à dire soluble dans les graisses. Cela permet aux liposomes de traverser les membranes cellulaires en emportant avec eux la vitamine C au cœur même des cellules.
Dans le cas de la vitamine C « classique » seulement 10 à 20 % de cette vitamine est assimilée.
Les avantages d'une forme liposomale sont les suivants :
Assimilation intestinale
La vitamine C est beaucoup mieux absorbée par la paroi intestinale.
Ainsi, 2 fois plus de vitamine C passe dans le sang avec la forme liposomale, comparativement à la forme classique.
La tolérance est parfaite : aucun trouble digestif, et aucune acidité gastrique, même à fortes doses.
Assimilation cellulaire
Les liposomes et la vitamine C sont transportés directement à l’intérieur de la cellule dont celles du cerveau, des cellules immunitaires, et des surrénales.
Ce n’est pas le cas de la vitamines C classique dont une grande partie est éliminée dans les urines.
Diffusion progressive
La vitamine C liposomale diffuse progressivement, et la concentration sanguine reste élevée plus longtemps. La vitamine C liposomale échappe en grande partie à l’excrétion urinaire.
Taille nanométrique des liposomes.
Elle doit être entre 50 nm et 300 nm afin d’assurer une absorption optimale.
Encapsulation.
Cela nécessite une machine sophistiquée pour obtenir des liposomes bien encapsulés.
La lécithine employée doit être d’une grande pureté et que l’eau purifiée soit utilisée en juste proportion.
Stabilité des liposomes
Les liposomes bien encapsulés sont indépendants de l’oxygène, de la température ambiante ou corporelles.
Acide ascorbique ou Ascorbate de sodium.
L’acide ascorbique, c’est la vitamine C classique, que l’on retrouve à l’état naturel sous forme acide L-ascorbique.
L’ascorbate de sodium est une vitamine C liée à du sodium. Sous forme de sel, cette forme n’est pas acide et plus stable. C’est la forme privilégiée utilisée dans les vitamines C liposomales.
Qualité des phospholipides.
Ceux-ci sont obtenus à partir de lécithine de soja ou de tournesol, qui doit être purifiée pour obtenir des liposomes petits et bien encapsulés. La phosphatidylcholine est le phospholipide qui doit être majoritaire.
Fausse vitamine C liposomale
- Vitamine C sous forme de palmitate d’ascorbyle : La vitamine C est liée à un corps gras (acide palmitique). L’absorption est peut-être meilleure que la vitamine C classique mais ce n’est pas un procédé liposomal.
- Vitamine C sous forme d’Ester-C® : Etant brevetée, elle ne peut être mise en forme liposomale.
- Ajouts d’émulsifiants : Il s’agit d’une simple émulsion et non de liposomes.
- Fabriquer sa liposomale : A oublier tant la technologie liposomale est complexe à mettre en œuvre.
- Vitamine C liposomale bio : Les molécules ne sont pas labellisables en bio, et les fruits dosés en vitamine C peuvent être mais la quantité en vitamine C des fruits est faible (30% maximum) il est impossible de faire des quantités industrielles de forme liposomale.
Les études montrent que la concentration sanguine en vitamine C est 1.8 à 2,4 fois supérieure à la vitamine C classique, mais bien moindre que la vitamine C en intraveineuse.
La forme injectable de vitamine C permet des concentrations sanguines 15 fois plus élevées que celles pouvant être atteintes par voie orale.
la forme liposomale de vitamine C permet des concentrations sanguines 2 fois plus élevées que celles pouvant être atteintes par voie orale avec une vitamine C classique.
La forme intraveineuse permet d’augmenter massivement le taux dans le sang, mais elle est sujette à l’élimination rénale très rapidement. La vitamine C liposomale éviterait en grande partie l’élimination rénale et serait mieux assimilée au niveau cellulaire.
La concentration sanguine de vitamine C prise par voie orale baisse dès 3 heures après sa prise.
Donc il vaut mieux prendre des doses répétées - 3 fois par jour - plutôt qu’une seule importante..
La vitamine C liposomale doit se prendre quelques minutes avant les repas.
Le nombre d'études est trop important pour les citer toutes mais en voici quelques résultats :
Traduction Google Translate :
Objectif.
Pour tester si les taux plasmatiques de vitamine C, après des doses orales chez des volontaires supplémentés, sont étroitement contrôlés et soumis à un maximum de l'ordre de 220 mM L 21, comme suggéré par les chercheurs précédents pour les sujets épuisés.
Déterminer les niveaux plasmatiques après des doses uniques et de taille variable de formulations standard et liposomales de vitamine C et comparer les effets des différentes formulations.
Pour déterminer si des niveaux plasmatiques supérieurs à 280 mM L 21, qui ont tué sélectivement le cancer, les bactéries ou les virus (lors d'expériences en laboratoire), peuvent être atteints en utilisant des doses orales de vitamine C.
Conception.
Il s'agissait d'une étude en simple aveugle, mesurant les taux plasmatiques chez deux sujets, dans des échantillons prélevés toutes les demi-heures ou toutes les heures pendant 6 heures, après l'ingestion de vitamine C.
Les données ont été comparées aux résultats publiés et aux données de 10 ans de déterminations plasmatiques en laboratoire.
Matériaux et méthodes.
Comprimés standard de 1 gramme de vitamine C; vitamine C. liposomale
Les niveaux plasmatiques ont été analysés en utilisant la méthode de Butts et Mulvihill.
Résultats.
Des études préliminaires sur les effets des liposomes et de l'ascorbate de formulation standard ont montré que des taux plasmatiques sanguins supérieurs au maximum supposé de 220 mM L 21 étaient possibles.
De fortes doses orales d'ascorbate liposomal ont entraîné des concentrations plasmatiques supérieures à 400 mM de L 21.
Conclusions.
Étant donné qu'une dose orale unique peut produire des niveaux plasmatiques supérieurs à 400 mM de L 21, la théorie pharmacocinétique suggère que des doses répétées pourraient maintenir des niveaux bien supérieurs au maximum précédemment supposé.
Ces résultats ont des implications sur l'utilisation de l'ascorbate, comme nutriment et comme médicament.
Par exemple, un court traitement in vitro de cellules de lymphome de Burkitt humain avec de l'ascorbate, à 400 mM de L 21, a entraîné une mort de 50% des cellules cancéreuses.
En utilisant des doses orales fréquentes, un niveau plasmatique équivalent pourrait être maintenu indéfiniment.
Ainsi, la vitamine C orale peut être utilisée comme agent thérapeutique non toxique et durable. Il est urgent de poursuivre les recherches sur les aspects expérimentaux et thérapeutiques des doses orales élevées et fréquentes d'acide ascorbique seul ou (pour le traitement du cancer) en combinaison avec des substances synergiques, telles que l'acide alpha-lipoïque, le cuivre ou la vitamine K3.
Traduction Google Translate :
En résumé, nous avons démontré que l'administration orale de vitamine C encapsulée dans des liposomes produisait des concentrations circulantes de vitamine C supérieures à celles provoquées par l'administration orale de vitamine C non encapsulée mais inférieures à celles qui suivent l'administration intraveineuse de vitamine C et assuraient une protection. d'une ischémie – reperfusion similaire à la protection fournie par l'administration orale de vitamine C non encapsulée et par voie intraveineuse de vitamine C.
http://gestionsante.free.fr/vitamine_c.htm#liposomal
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La vitamine C est l'une des vitamines les plus anciennement connues et elle a fait l'objet d'innombrables recherches. Cette page n'aura donc aucune prétention à l'exhaustivité.
Après avoir présenté les recherches plutôt académiques mais intéressantes du Dr Frei, nous présenterons les recherches du Dr Cathcart, un praticien de terrain qui a une longue expérience des mégadoses de vitamine C par voie orale et qui en propose une explication "électronique" fort intéressante en relation avec l'antixoydant glutathion.
Nous distinguerons les effets qui peuvent être obtenus par voie orale des effets des injections qui permettent de relever bien plus fortement les taux plasmatiques et qui ont des effets curatifs sur la septicémie et anticancéreux via des mécanismes biochimiques paradoxaux en empoissonnant les cellules cancéreuses ou le bacille de la tuberculose.
Nous ferons le point sur quelques études récentes concernant la vitamine C, notamment sur l'utilisation de sa forme oxydée l'acide L-déhydroascorbique qui pourrait se révéler comme un traitement particulièrement prometteur des accidents vasculaires cérébraux.
Nous présenterons aussi la théorie de prévention des maladies cardiovasculaires par la vitamine C et les acides aminés lysine et proline, qui s'appuie sur le rôle de la vitamine C dans la synthèse du collagène et qui a été développée par Linus Pauling et repise par le Dr Rath, mais qui reste inpitoyablement occultée par l'industrie pharmaceutique avant tout soucieuse de placer ses traitements anticholestérols aussi coûteux que peu efficaces.
Enfin, nous nous intéresserons à quelques formes innovantes de vitamine C pour tenter d'en définir l'intérêt réel.
Liens sur le site des Pages sur la Vitamine C :
Histoire - Compléments - Bienfaits - Libération Prolongée - Vitamine C liposomale Novoma - Publications d'études